On peut encore voir aujourd'hui
au coin d'une calle, près de San Canziano deux crochets auxquels on suspendait
autrefois les quartiers des condamnés à mort que l'on avait découpés
et que l'on exposait à la vue de tous.
Ils sont devenus des porte-bonheur
et tout comme on dit que celui qui touche la corde d'un pendu trouvera la fortune
au jeu, on prétend que celui qui touche ces crochets sera chanceux.